Les terres humaines, cette route, séparés deux ville, peuplée par les hommes, voila un bien étranges tableau, une nymphe, qui devrait être en foret, ou dans la nature, et entrain de marcher sur cette route, que faisait-elle la ? elle s'avoua elle même dans un soupire que la raisons de sa venue était indéchiffrables. Mais il devait bien avoir un raisons pourtant enfin, des fois faut pas chercher a comprendre... Enfaîtes, le but de cette visite, était de prendre l'air, un autre air, que celui de l'environnement si verdoyants, elle vit, passer a cotés d'elle, une famille, contenants, un père, une mère, des enfants, tout ce que Luria n'avait plus. Son coeur se serras emportée par une douleur sans fin, la seule rescapée, c'était elle, comme la larmes qui bouillonnait de peine dans ses yeux, et qui finis par glisser agripper a sa joue, d'un mouvements net, et quelques peu coléreux la nymphe essuya du revers de sa manche cette larme et restât de marbre après, et pendant tout le long qu'elle marchait.
Cette journée se finissait, encore une de plus a ajouter sur la vie de la nymphe le chemin n'était pas toujours, droit, et passait parfois par des petits ponts d'une hauteur respectables c'est près de l'un de ceci de Luria avait décider d'y faire un arrêt. Elle s'asseye sur le rebords et regarda tout, le monde, les familles heureuses, le ciel l'eau, la terre... D'elle, on voyait quelques mèches, cheveux aux vents rouges dépassant et une jeune femme dans une cape prenants le reste de ses vêtement, étant un pantalon de cuir moulant et un corset noir.
Alors qu'elle regardait autre part, une enfant, qui fonçait après un autre, effleuras la nymphe qui eut un instant de basculent et finis rattraper par les mains sur le rebords du pont, sa cape qui n'était que poser sur ses épaules glissa et elle tenta vainement de la prendre, elle ne tenait plus que sur une main. Elle relança sa main pour reprendre appuie sur les deux et agrippé par ses bras qui semblait faible sur le coups de la fatigue tenta de remonter de se pont...