Se rafraichir [Libre]

Navildur était en train de marcher dans le désert. Il était en train de réfléchir plutôt. Il se posait plein de question inutile comme pourquoi est il ici ? Quel est son but dans sa vie ? etc... Navildur est un homme qui réfléchit beaucoup, trop des fois même. Et là, il avait trop réfléchit et il se retrouva au milieu du désert sans savoir où il est. Il commença à regarder autour de lui, il n'y avait que du sable à perte de vue. Alors il prit une direction au hasard espérant que celle ci ne l'amène pas à sa perte. Navildur alors marcha, mais il voyait toujours cette étendu de sable et le soleil qui tapait fort, après tout, il se trouve dans un désert. Plus Navlidur avançait, plus il croyait que le désert qui l'abritait allé le voir mourir. Mais Il vit quelque chose au loin, un Oasis. Navildur se demanda si il s'agissait d'un mirage ou pas. Alors il s'y dirigea pour voir si son cerveau lui jouait des tours ou pas. Mais cette Oasis était bien vrai. L'homme mit ses mains dedant et commença à boire, à boire et reboire. Toute cette marche lui avait donné soif.

Mais un moment, il entendit du bruit derrière lui. Il se retourna rapidement. Il s'agissait de quatre personnes sur des chameaux. L'homme les regarda dans les yeux et ils se mirent à ricaner. Ils semblaient avoir une idée derrière la tête. Puis il descendirent de leur bestiot et se dirigèrent vers Navildur l'entourant. L'un d'eux s'exprima...

-Alors, que fais tu ici tout seul mon ami ?

"J'avais besoin de me rafraichir"

Ils le regardèrent et ricarnèrent doucement. Navildur le sentait pas le coup là, mais il n'avait pas prit son sabre et sans son sabre, l'homme ne savait pas très bien se battre. Il se bat mieux avec son sabre que main nue. Puis un autre toucha à sa bourse attaché à sa taille. Navildur lui en empêcha en tapant sur la main et tous se rapprochèrent d'un coup. L'homme se tenait bien droit face à ses adversaires...

-Tu vas nous donner ton or étranger. Que tu le veilles ou non.

Puis l'un d'eux tenta de frapper le Bohémien mais celui ci esquiva le coup et lui renvoya. Un autre attaqua par derrière et il réussit à éviter le coup aussi mais pas le troisième coup. Navildur reçut un coup à la tête et tomba au sol. Les quatre types en profitèrent pour le molester de coup. Navildur se retrouva au sol, tentant de se protéger tant bien que mal face aux nombreux coup lancé par ses aggraisseur.

Kaïlianna avait quitté son palais, elle cherchait un algue spécialle, qui ajoutée a une potion, lui permettraient d'aller sur la terre en plein jour. Elle avait fouillé longtemps et avait fini par attérir dans un oasis. Sa curiosité pour les autres races la poussa a remonter. Elle entendit des voix et jugea préférable de se cacher derrière un arbre sur le bord de l'eau. De son poste elle pouvait voir sans ètre vu. Elle retint une expxpréssion d'indignation en voyant le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Quatre hommes étaient en train de rouer de coup un autre homme. Kaïlianna pesta contre le ciel qui l'avait doté de cette queue ! Elle ne pouvait pas aller sur la terre ferme ! Kaïlianna décida d'utiliser son pouvoir. Elle ferma ses yeux et laissa son esprit sortir de son corp et entra dans le corp d'un des agresseurs. Un combat s'engagea dans l'homme entre son esprit et celui de la sirène :

** Arrète ! Recule et dis a tes compagnons de faire pareil ! **

* Non ! Je ne reculerais pas *

** Recule je te dis ! Je peux ravager ton esprit d'une simple pensée !**

* Qui es tu déja ? *

** ça ne te regarde pas ! RECULE !**

L'homme capitula, Kaïlianna refit son manège dans l'esprit des trois autres hommes, finalement ils reculèrent tous, mais Kaïlianna n'avait plus de force pour leur ordoner de partir. Elle eu alors une idée. Elle détacha le couteau qui était accroché a son coup et le lanca a l'homme qu'elle avait bien du mal a aidé. Heureusement les quatres agresseurs étaient maintenant affaiblis et troublé par laincrusion de la sirène dans leur esprit

Navildur ne pouvait rien faire contre ses quatre aggresseurs. Il ne pouvait que se protéger et attendre que ceux là partent. Puis un arrêta et commença à reculer et peu de temps après suivit par se compère. L'homme se demandait pourquoi ils s'étaient tous arrêté et ils semblaient bizarre. Et maintenat un couteau qui apparait de nulle part à côté de lui. Mais bon, si il voulait survivre, il devait se défendre. Il saisit le couteau discrètement et il se releva. Les hommes qui l'avaient attaqué reprirent leur esprit et vit le métis se relever. Il s'avancèrent de nouveau vers lui prêt à leur faire encore mordre la poussière mais Navildur cette fois ci ne se laissera pas faire aussi facilement. Navildur sortit le couteau qu'il avait ramassé et le lança en direction d'un des hommes qui le reçut en pleine gorge. L'homme tomba au sol alors mort. Les autres s'arrêtèrent et regardèrent leur compagnon au sol, puis ils se tournent vers le Bohémien et l'un d'eux lui dit...

-On se retrouvera étranger.-

Puis ils se dirigèrent vers leur chameau et ils s'en fuirent laissant le cadavre de leur ami sur les lieux. Navildur les regarda partir et une fois qu'il ne pouvait pu les voir, il posa un genou à terre affaibli par les coups reçut. L'homme avait mal un peu partout mais il avait fait en sorte de pas le montrer aux hommes qu'il l'avait agressé. Puis voyant celui qu'il avait tué, il se dirigea vers celui ci pour le dépouyer de ce qu'il avait sur lui espérant trouver quelque chose de bien.

Kaïlianna attendit que les hommes s'en aillent pour sortir, mais là encore elle hésita. Ne serait il pas plus convenable de partir sans se faire remarquer. Elle réfléchit et arriva a la conclusion qu'elle devait de toute façon récupérer son couteau, et donc se montrer. Elle sortit de derrière son buisson et s'approcha le plus près qu'elle pu du bord de l'eau. L'étranger était en train de fouiller le cadavre.

- Excusez moi ! Serais ce possible de récupérer mon couteau, j'y tient beaucoup !

Navildur était en train de dépouyer l'homme qui avait du tuer quelques temps auparavant. Il trouva des babioles ainsi qu'un peu d'argent mais rien de très intérressant. Puis il entendit une voix derrière lui alors il se tourna rapidemant et cessit le couteau qu'il avait trouvé pour être sur ses gardes si la personne qu'il lui parlait lui voulait du mal. L'homme regarda cette personne et vit qu'il s'agit d'une femme avec semblait il une queue. Le bohémien lui dit...

"Ceci est votre couteau alors, et donc par conséquent je suppose que vous m'avez aidé. Mais pourquoi avoir fait cela alors que vous me connaissez pas ?"

L'homme trouvait cela bizarre qu'elle soit venu à son aide alors qu'il lui avait rien demandé, pourquoi n'a t elle pas fait comme ci elle n'avait rien vu comme aurait fait la plupart des gens. Navildur trouvait la réaction de la sirène étrange car il avait pas l'habitude qu'on lui vitn en aide.

Kaïlanna sourit a l'homme

- C'est drole que vous me posiez cette question ! A t-on besoin de connaitre la persone pour lui venir en aide. Il faudrait n'aider que nos proche ? Mais alors, comment pourrions nous vivre ? Si chacun restait dans son coin, a ne penser qu'a soi, comment feraient les plus démunis ?

Kaïlianna n'avait pas encore beaucoup l'habitude des "peuples d'en haut" et trouvait leur réactions souvent bizarre, dans son océan, jamais un tel discours n'aurait eu lieu, du moins, elle n'avait jamais participé a un tel discours.

Navildur regardant méfiant la créature des eaux. Pourquoi est elle venu l'aider ? Il ne pouvait s'empêcher d'y penser. Il lui avait rien demandé même son aide lui avait été précieuse. Le Bohémien devait dire qu'elle avait surement pas l'habitude de voir ce genre de situation car un Humain aurait continué son chemin faisant comme ci il n'avait rien vu. Alors Navildur en signe de remerciement lui rendit son couteaut même si on peut dire que ce n'est pas trop un merci.

L'homme se dirigea vers la sirène mais resta tout de même un peu sur ses gardes, on ne sait jamais ce que dont sont capable ses créatures. Mais, plus le Bohémien avançait, plus ses blessures se régénéraient naturellement. Cela surprit d'ailleurs la sirène mais Navildur n'y prêta pas la moindre intention car il avait l'habitude de voir cela. Pour lui, c'était une sorcière qu'il lui avait jeté un mauvais sors et du coup il se trouve maudit à jamais. Mais pour tout vous dire, cela ne venait pas d'un mauvais sort mais de son bracelet offert par sa mère qui lui donnait un pouvoir de régénérection. Malheureusement, l'homme ne l'avait toujours pas aperçut ce mystèrieux pouvoir.

Il était arrivé à la hauteur de la sirène et il lui tendit son couteau. Celle ci le reprit sans rien dire. Navildur ajouta donc...

"Les plus démunis devront survivre comme toujours. C'est ainsi qu'est la vie ici ma chère."

Est oui... C'est triste à dire mais il fallait bien se nourrire ou se loger alors certains vont jusqu'à voler ou bien il vagabonde de ville en ville pour trouver un logement. Les riches sur cette terre n'avait que faire de tous ses pauvres, ils ne pensent car leur argents. Ils seraient même capable de faire passer l'argent avant leur femme ou encore leur enfant. C'était pour cela que Navildur n'avait pas trop les personnes riches. En faite, l'homme n'aimait pas beaucoup de chose sur cette planète car il la trouvait détruite par l'homme ou bien toute ses créatures. Pour lui, aucune espèces est meilleurs que les autres, et lui aussi ne vont pas mieux qu'un autre car ils sont tous mortel.

Kaïlianna pris le couteau des mains de l'homme avec un sourire qui été sencé remplacer les mots de remerciement. Elle écouta ensuite les propos de l'homme et soupira. Les hommes avait un façon pessimistes de voir les choses parfois... Cependant elle se demandait si la vie sur terre était telle que l'avait décrite l'homme. Elle trouvait cela étrange. La sirène mesura de nouveau son ignorance au niveau des autres races. Elle ce dit que, en temps que reine des sirènes, il serait peut ètre préférable de savoir un minimum de choses sur les autres races, les "peuples d'en haut". Kaïlianna eu alors une idée, l'homme lui semblait sympatique, peut ètre pourrait-il l'aider. Elle fronca les sourcils, perdue dans ses pensées. Avant de pouvoir faire quoi que ce soit, il lui faudrait acquérir la confiance de l'homme. Elle le voyait, il était toujours sur ses gardes. Kaïlianna le comprenait, il ne devait pas croiser des sirènes tous les jours. Cependant, la sirène ne lui voulait aucun mal, comment pouvait il ne pas avoir confiance en elle alors que, sans son aide, il ne serait surement plus de ce monde.

" Vos paroles me préocupent."

Avoua t-elle

" Les hommes sont -ils tous comme vous me les montrez ? "

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et enchaina

" Je ne connait pas bien les "peuples d'en haut", les coutumes, les idées des hommes ainsi que des autres peuples de la terre me sont étrangères. Et, en temps que reine des sirène je ..."

Elle se rendit compte qu'elle ne s'était pas présentée.

" Je suis désolé, je vous parle, je vous parle, mais vous ne connaissait toujours pas mon identité. Je suis Kaïlianna, reine du peuple de l'eau, appellé sirènes."

Elle éspérait que son identité allait aider l'homme a lui accorder un peu de confiance

" Comme je le disait, je me doit de connaitre un minimum les autres peuples. "

Elle s'arréta là, Attendant une réponse

Visiblement, les sirènes ne doivent pas sortir de l'eau tout les jours et en même temps c'est un peu normal, étant donné qu'elles ne peuvent pas marcher, cela leur serait difficile de circuler dans les rues des villes. Néammois, l'ignorance de la sirène était très importante, Navildur si le voulait aurait pu la manipuler en lui racontant des histoires à tomber par terre mais cela lui apportera rien. Elle n'arrêtait pas de le questionner sur toute sorte de chose et un moment elle se présenta. C'était donc la reine des sirènes, mais le Bohèmien lui resta méfiant, c'est dans sa nature et il n'y pouvait rien. Il a eut beaucoup de déception dans son passé qu'il resta maintenant méfiant envers tout le monde...

"Je suis Bohémien, peuple du désert... c'est tout ce que vous avez besoin de savoir pour l'instant reine des sirènes."

Navildur était un peu sec mais bon, si elle veut connaitre le monde des humains autant lui montrer tout de suite. Donc elle voulait connaitre les hommes, mais qu'est ce qu'elle veut qu'il raconte. Navildur se demandait bien ce qu'il pouvait dire alors il lui dit...

"Les hommes sont une race faibles et pitoyable. Conrompre leur esprit est d'une facilité déconcertante que même vous sirère y arriverait sans aucun problèmes. Mais comme partout, il y a des gens biens et des gens moins biens. C'est tout ce que je peux vous dire en gros sur les humains."

Voilà, maintenant si elle voulait savoir autre chose, qu'elle pose des questions ou bien qu'elle s'en va car Navildur avait horreur de discuter avec des personnes inconnus.